Egret vient de sortir un nouveau modèle de trottinette électrique, la Egret One. Découvrez ses points forts.
Les caractéristiques de la Egret One
Comme d’habitude, le guidon de l’Egret One doit d’abord être vissé sur le guidon. Mais cette fois, ce n’est pas si évident. En effet, l’acheteur doit d’abord retirer un tube intérieur du guidon. Car voici déjà le premier point fort : le guidon de l’Egret One est réglable en hauteur de 109 centimètres à 129 centimètres. Ainsi, la trottinette électrique peut être conduite aussi bien par des personnes très petites que par des personnes vraiment grandes.
L’Egret One pèse à peine 23,6 kilos et supporte une charge maximale de 120 kilos. Son mécanisme de pliage est un peu plus compliqué que celui auquel nous sommes habitués sur d’autres trottinettes électriques, mais elle laisse une impression de stabilité.
Visuellement, il semble robuste et d’un seul tenant. Seul le garde-boue arrière est trop en plastique et pourrait se casser en cas de coup de pied vigoureux. L’Egret One est dominé par la couleur noire, avec pour seules touches de couleur les yeux de chat et le feu arrière rouge vif. Nous aurions souhaité quelques variantes plus colorées.
Les poignées ont une forme ergonomique et sont fantastiques au toucher. Aux extrémités des poignées se trouve un clignotant clair et bien visible, qui est démarré et arrêté via l’écran de commande sur le côté gauche. En outre, le conducteur détermine le niveau d’assistance via le panneau de commande et déclenche l’avertisseur sonore électrique très puissant. C’est super pour attirer l’attention des automobilistes.
L’écran couleur central et assez grand, qui est un peu difficile à lire en plein soleil, indique entre autres, outre la vitesse actuelle, la capacité restante de la batterie et l’autonomie restante. Curieux : avec 80% de capacité restante, la batterie veut encore parcourir 35 kilomètres en mode Eco. En mode d’assistance Tour, elle atteint 41 kilomètres et même 45 kilomètres en mode Sport. Il semble qu’il y ait là un problème de logiciel, car l’autonomie devrait diminuer et non augmenter dans les niveaux d’assistance supérieurs. L’Egret One est également livré avec une application. Sa valeur ajoutée est toutefois limitée.
L’éclairage avant est très lumineux et sa hauteur est variable. Le feu arrière encadre la plaque d’assurance. C’est l’un des feux arrière les plus lumineux que nous ayons vus jusqu’à présent. Il s’allume en outre lors du freinage.
L’Egret One est fantastique à conduire ! Cela est dû à plusieurs facteurs. D’une part, son centre de gravité est assez bas, ce qui lui confère une certaine stabilité. D’autre part, il est équipé de grands pneus pneumatiques de 11 pouces de Pirelli qui, même sans suspension, amortissent une grande quantité d’irrégularités.
Le système de freinage est également très bon. Les roues avant et arrière sont équipées de freins hydrauliques, dont les plaquettes ne doivent être remplacées qu’à partir de 4900 kilomètres.
La batterie de l’Egret One a une capacité de 672 wattheures. Egret annonce une autonomie maximale de 65 kilomètres. Dans des conditions idéales, celle-ci peut certainement être atteinte. Pour un conducteur de 80 kilos et un trajet en ville avec beaucoup d’arrêts, nous estimons qu’elle sera d’environ 41 kilomètres. La batterie est rechargée au bout de cinq heures.
Pour conclure, la Egret One est une trottinette électrique qui est à conseiller pour sa puissance et sa grosse batterie.
Passionné de sport, Marc teste de nombreux vélos et autres pour vous partager ses conseils.